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14 Juin
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La mission de l’OEA promet un rapport de ses rencontres dans deux semaines

La mission de l’OEA promet un rapport de ses rencontres avec plus de 50 interlocuteurs dans deux semaines
La mission de l’OEA, arrivée en Haïti depuis le 8 juin 2021, a rencontré plus de 50 acteurs de la société civile et politiques afin de “faciliter un dialogue qui conduirait à des élections libres et équitables.” Les conclusions et recommandations de ces rencontres seront connues dans deux semaines, informe cette mission qui promet de les soumettre au président du conseil permanent.

Dans un communiqué rendu public ce 10 juin 2021, l’OEA indique qu’une mission de bons offices de l’OEA, en Haïti pour une visite de 3 jours et Composée des représentants permanents du Canada, du Costa Rica, de l’Équateur, de Saint-Vincent-et-les Grenadines et des États-Unis, et appuyée par le Secrétariat général de l’OEA et le Représentant spécial du Secrétaire général en Haïti, a été reçue en audience par le Président Jovenel Moïse avec la participation du Premier Ministre par intérim et Ministre des Affaires étrangères, Claude Joseph.

Les membres de la Mission ont pu échanger avec “plus de 50 acteurs de la société civile et politique sur “les défis auxquels fait face Haïti.” Ces rencontres ont aussi permis “de renouveler l’engagement des parties prenantes en Haïti à un processus démocratique inclusif conduisant à des élections libres et équitables dans les prochains mois.”

“A chaque réunion, les membres de la Mission Bons Offices ont demandé :
– Engagement en faveur de la démocratie représentative en vertu de la Charte démocratique interaméricaine
– Engagement pour des élections législatives et présidentielles libres et équitables en 2021
– Un processus électoral transparent avec la contribution de toutes les parties prenantes qui sera crédible pour le peuple haïtien
– Accord de compromis pour parvenir à un accord politique au profit du peuple haïtien
– Engagement contre la violence politique et l’impunité et engagement à respecter les droits humains.”

La Mission de bons offices se félicite de l’opportunité de dialoguer directement avec un large éventail de parties prenantes, elle promet qu’elle examinera les contributions qu’elle a reçues et, dans un délai de deux semaines elle soumettra un rapport au Président du Conseil permanent avec ses constatations, conclusions et recommandations.

La Mission de bons offices exprime ses remerciements au Président pour avoir invité la Mission et à toutes les parties prenantes qui ont participé aux discussions très productives qui ont eu lieu.

Juno7

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12 Juin
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Bon Anniversaire à la PNH!

Ayant connu une longue période de turbulences depuis sa création, le Secrétariat Exécutif du Parti politique Patriyòt Rasanble pou Sove Lakay (PARASOL) saisit l’occasion pour souhaiter un Joyeux 26ème anniversaire à la Police Nationale d’Haïti (PNH), spécifiquement aux vaillantes et vaillants policières/policiers qui ont sacrifié leur jeunesse et leur vie et qui continuent à le faire pour sauver la vie des autres.

Bon Anniversaire à la PNH!

Yvon Bonhomme,
Président

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06 Juin
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Quand le parti politique PARASOL défend la cause des femmes

Au cours d’une conférence donnée à l’occasion de la fête des mères, le président du parti politique Patriyòt Rasanble pou Sove Lakay (PARASOL), Yvon Bonhomme a soulevé la cause des femmes tout en souhaitant que l’État se penche sur des catégories de femmes que le parti estime qu’on oublie.

En effet, le parti PARASOL a jugé bon de poser la question des femmes dans la société à l’occasion de la fête des mères. Dès les premiers mots, le président de ce parti, Yvon Bonhomme n’a pas laissé mystérieux le sujet qui l’intéressait : « Comme nous le faisons chaque année, nous nous courbons face à toutes les mères, qu’elles soient en prison ou en détention préventive sans pouvoir passer devant un juge, qu’elles soient abandonnées sur un lit d’hôpital un peu partout ».

La liste s’est prolongée pour saluer les femmes à sanatorium, celles victimes de violences sexuelles, celles qui n’hésitent pas à faire un travail jugé impropre ou indigne par beaucoup. Une longue liste, comme pour souligner la volonté de PARASOL à n’oublier aucune mère, peu importe la catégorie à laquelle elle appartient. Le parti politique en a profité pour renouveler sa promesse de continuer à accompagner les marchandes.

Toutefois, l’accent a été mis sur une catégorie spécifique. « À l’occasion de la fête des mères, nous saluons spécialement cette catégorie de femmes à laquelle on donne tous les noms : on les appelle prostituées, jamè dodo, femmes de rues et on les appelle femmes de trottoir », déclare M. Bonhomme. Il ne s’est pas arrêté à cela mais en a profité pour souligner les injustices que subissent ces femmes. « Elles sont victimes de viols, d’hommes qui couchent avec elles sans les payer après, de gens qui les battent, qui les blessent », déplore Yvon Bonhomme.

Selon lui, ce sont des gens qui n’hésitent pas à faire de leurs corps, un commerce pour pouvoir élever leurs enfants. « Ce sont des héroïnes », déclare-t-il. Le parti estime que l’État n’accorde pas une grande attention à cette catégorie de femmes. Pourtant, elles souffrent dans leurs âmes, leurs entrailles et leurs corps.

Aussi, le parti demande à l’Etat de mettre en place une politique qui faciliterait la vie aux femmes de façon qu’aucune ne se voit obligée de s’aventurer sur cette voie pour pouvoir élever ses enfants. Le parti se proclame parti des sans-voix et estime que pour cela, aucun sujet ne devrait être tabou pour lui, surtout pas défendre la cause de ces femmes trop souvent oubliées.

Le Quotidien News

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31 Mai
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Le parti ‘’Patriyòt Rasanble pou Sove Lakay’’ appelle au respect des droits des prostituées

Le parti ‘’Patriyòt Rasanble pou Sove Lakay’’ (PARASOL) plaide pour une meilleure intégration des prostituées dans la vie sociale en Haïti. En conférence de presse ce lundi, le responsable de PARASOL,Yvon Bonhomme évoque l’inefficacité des ministères des affaires sociales et à la la condition féminine comme à l’origine de cette situation difficile que connait les femmes prostituées.

Port-au-Prince, le 31 mai 2021 :- Pour des prostituées plus respectées et plus intégrées au sein de la société haïtienne, le parti, ‘’Patriyòt Rasanble pou Sove Lakay’’ (PARASOL) enjoint l’Etat à jouer pleinement son rôle. Le responsable de PARASOL dresse un tableau sombre de la situation des travailleuses de nuit dans le pays.

Yvon Bonhomme dénonce en effet, des actes d’agression dont subissent cette catégorie, ce au vu et au su de l’État haïtien. L’homme politique engage ce plaidoyer, environ24 heures après la célébration de la fête des mères.

Yvon Bonhomme, dénonce par ailleurs l’ingratitude de la société vis-à-vis des femmes de nuit. Il exige aux autorités compétentes qu’elles prennent les dispositions nécessaires pour améliorer la qualité de vie des femmes en générale, ce qui selon lui, aurait évité aux jeunes filles de se livrer à la prostitution.

Enfin , le leader politique appelle à une redéfinition du ministère des affaires sociales et du travail ainsi que celui à la condition féminine et aux droits des femmes dans la perspective de garantir la plénitude des droits de cette catégorie marginalisée.

Vant Bèf Info ( VBI)

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30 Sep
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« Quand les hommes se refusent à dialoguer, les armes le feront à leur place », prévient PARASOL

Le parti politique Patriyòt Rasanble pou Sove Lakay (PARASOL) plaide en faveur d’un accord politique qui proviendra, précise-t-il, d’un dialogue inclusif entre les différents protagonistes afin d’épargner Haïti d’une Catastrophe. « Quand les hommes se refusent à dialoguer, les armes le feront à leur place », a indiqué Yvon Bonhomme président de PARASOL, dans une note de presse publiée ce vendredi 4 septembre 2020.

Dans cette note qui porte la signature de Yvon Bonhomme, le Patriyòt Rasanble pou Sove Lakay (PARASOL) dit exiger « la tenue dans l’immédiat d’un dialogue facilitant la conclusion d’un accord en vue d’une bonne gouvernance politique, judiciaire, économique et social du pays». Selon PARASOL qui s’adressait aux dirigeants tant de l’opposition que du pouvoir, le refus du dialogue peut amener le pays tout droit vers la catastrophe. « Quand les hommes se refusent à dialoguer, les armes le feront à leur place », a-t-il prévenu. “Aucun sacrifice n’est trop grand, quand il s’agit de sauver son pays”, a-t-il ajouté.

D’un autre côté, le secrétariat exécutif de PARASOL dit condamner avec vigueur la vague d’insécurité qui fait des victimes au niveau des différents secteurs de la vie nationale. Il s’agit, selon le PARASOL qui présente ses sympathies aux victimes, » d’une violence qui s’exerce contre les populations dans les ghettos et les quartiers populaires, la violence contre les commerçants, les policiers, les journalistes, les étudiants et les professionnels de tout type notamment l’assassinat du Bâtonnier de l’ordre des avocats de Port-au-Prince, Me Monferrier Dorval qui a suscité l’indignation de toutes les couches de la société ».

Plus loin, le parti de Yvon Bonhomme dit prendre acte des dispositions annoncées par les autorités étatiques dans le cadre de l’enquête sur le dossier de Me Monferrier Dorval. Ça devrait être également le cas des autres victimes de l’insécurité, estime PARASOL. Il exhorte le président Jovenel Moise à se servir des dispositions légales pour rétablir la paix et la sécurité sur le territoire national, et ce, au profit des plus vulnérables.

PARASOL en a profité pour informer l’opinion publique tant nationale qu’internationale de la dissolution de la plateforme Ligue Dessalinienne (LIDE). « La plateforme LIDE n’existe plus et personne n’est autorisé à prendre la parole en son nom, ni à s’en servir à des fins personnels », lit-on dans le document. Yvon Bonhomme dit avoir constaté la caducité de la plateforme. « Aucune activité n’a été réalisée au sein de la plateforme LIDE car ceux qui ont été élus sous sa bannière n’ont pas tenu leurs promesses », déplore-t-il.

Le Quotidien News

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30 Juil
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Onzième bougie pour le PARASOL: Yvon Bonhomme active son plaidoyer au profit des personnes vulnérables

Comme à l’accoutumée, le parti ‘’Patriyot Rasanble pou sove lakay’’ ne ménage pas ses efforts pour appeler à une revalorisation de la masse défavorisée haïtienne en particulier, les « madan sara » et les handicapés. À l’occasion de son onzième anniversaire, il préconise, entre autre, un plan de contingence économique de recapitalisation des catégories oubliées, la mise en place d’une structure alimentaire nationale au profit des laissés pour compte tout en mettant au pilori le chef du gouvernement.

Dans sa note rendue publique le 2 juillet dernier, le PARASOL en guise de se tresser des lauriers, a fait montre d’une grande préoccupation par rapport à la détérioration de la vie des couches les plus vulnérables dont les ‘’madan sara’’, les handicapés, entre autres. Le président du parti, Yvon Bonhomme, qui a paraphé la note, n’a pas fait preuve de clémence vis-à-vis du premier ministre, Joseph Jouthe. Selon lui, le PM a un trou de mémoire gigantesque au point de ne frayer pas même une minuscule place dans sa tête pour les personnes âgées, les handicapés, les madan sara, etc.

Sa façon dont il traite certaines institutions du pays reflète cette critique. Et, Yvon Bonhomme en donne quelques exemples. L’ex DG du MHAVE qui a toujours recommandé l’application d’une politique plus adaptée au besoin et à l’intégration de ces exclus sociaux, réaffirme ses appels. Cette fois, à travers des recommandations claires et précises.

En vue de permettre aux oubliés de pouvoir subvenir à leurs besoins premiers, Le chef de file du PARASOL exige la mise en place d’une structure alimentaire nationale, opérationnelle à travers des »banques alimentaires (food bank) » réparties dans tout le pays au profit des personnes Handicapées, des personnes âgées et d’autres appartenant aux catégories vulnérables. Il réclame aussi l’élaboration d’un Plan de Contingence Économique pouvant recapitaliser les » Mandan Sara » et les artisans.

« L’ouverture d’une salle d’exposition permanente dans les dix (10) départements géographiques du pays et dans certaines communautés haïtiennes en terre étrangère pour les artisans. La Réorganisation de notre système d’asiles / maisons de retraite avec l’ouverture d’une maison de retraite nationale dans chaque arrondissement (42) et mettant à la tête de ce système un (e) Directeur (trice) Général (e). Faciliter l’accès à l’assurance santé de l’OFATMA à toutes les » Mandan Sara » , tous les artisans et les agriculteurs moyennant une cotisation adéquate », lu-t-on dans la note.

Outre cela, l’allié du pouvoir encourage : un Plan Environnemental sérieux et la promulgation d’un décret stipulant l’état d’urgence environnementale sur toute l’étendue du territoire, pour contrecarrer les actions nocives des prédateurs du Droit International de l’Environnement. Etablir un Programme d’Appui à l’Intégration Socio-économique des Jeunes ».

Il souhaite voir aussi la promotion de la CAS au rang de direction générale, l’accès aux élections des personnes handicapées, le droit à la candidature et au vote de la diaspora et le retour à la table du dialogue inclusif, entre autre.

En ce qui a trait à la justice, il préconise: « Le réajustement salarial du personnel de la fonction publique, des juges, des médecins, des professeurs d’école, des policiers et des ouvriers de la sous-traitance dans les factoreries et, ces derniers doivent également être rémunérés en dollars américains. La mise en réseau tous les tribunaux, les bureaux d’état civil, les sous-commissariats et commissariats de la République et la numérisation de tous leurs documents ».

L’ex DG réclame par ailleurs la divulgation d’un décret accordant décharge à tous les anciens comptables de deniers publics bénéficiant d’un audit favorable de la Cour des comptes et du contentieux administratif (CCS/CA).

Le Quotidien News

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21 Jan
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Que nous dit les policiers/policières qui sont en train de tomber sous les balles des bandits?

Les recents cas d’assassinats de policiers et de policières m’obligent à toucher le sujet avec lucidité pour pouvoir apporter de la lumière à ma société. Tout d’abord , il est certain que chaque nation a besoin d’une force policière pour la servir et la protéger.- pour l’aider à avancer vers la civilisation moderne.

À mon humble avis , un policier/ une policière est une personne qui a choisi de donner sa vie dans le travail pour aider son pays à rester dans la loi où à suivre le chemin de la civilisation. Donc, nous devons considérer les policiers et les policières comme des nobles dans nôtre société; mais, l’académie de police doit les donner une formation psycho- sociale avancée continuellement pour qu’ils puissent faire leur travail de policier dans le pays avec honnêteté.

Nous ne pouvons pas tolérer que les bandits éliminent des policiers et des policières volontairement, parce que fort souvent ces gens sont le moteur de leur famille ; et la mort est une chose vraiment triste pour la famille specialement quand on a retiré la vie d’une personne qu’elle aime profondément.

Touchons le sujet jusqu’aux os maintenant; il faut admettre que les gens que la société appelle des bandits ne sont pas des malades mentaux/ des fous, ils savent qu’ils doivent respecter les policiers; mais, quand certains policiers ou certaines policières commencent à s’intégrer dans la criminalité avec eux , ils n’ont automatiquement aucun respect pour ces autorités qu’ils devraient respecter; parce que la règle de leur jeu c’est » vous violez, vous mourrez. »

Je connais des policiers et des policières au sein de la police qui sont en train de faire un travail noble depuis une dizaine et même une vingtaine d’années, et ils sont toujours là parce qu’ils ne violent pas les principes inculqués en eux lors de leurs formations à l’académie de police. Il faut se questionner sur le fonctionnement de la police haitienne; il y a t-il un gang à l’intérieur de cette institution? Que la réponse soit oui ou non, il faut ouvrir une enquête pour découvrir ceux et celles qui ne sont pas correctes.

Trop de policiers se sont tombés sous les balles des bandits selon les statistiques, il faut se demander si le problèmes n’est pas institutionnel? Parce qu’à l’époque de l’armée d’haiti, les militaires ne se tombaient pas sous les balles de ceux et de celles qui pratiquaient la criminalité.

Maintenant, s’il y a un groupe de policiers qui se sont intégrés dans la criminalité ,il faut questionner les hauts dirigeants de l’état. Est ce que le salaire des policiers est raisonnable? Est ce qu’ils puissent faire face à leurs obligations quotidiennes avec un tel salaire? Pourquoi les hauts dirigeants de l’état ne se penchent pas sur la phase économique pour pouvoir essayer de résourdre certains problèmes au sein de la police nationale? Parce que selon la bible: »L’argent répond à tout. »

Pour quoi le parlement haïtien ne vote pas une loi sur la peine de mort automatique pour quiconque tue un policier ou une policière?
Pour construire un pays , il nous faut des penseurs qui peuvent réfléchir au delà de l’imagination- des gens qui peuvent penser pour cinq ciècles; et , ces gens doivent être au sein de l’état continuellement.

Si nous voulons vraiment arrêter les crimes sur nos policiers, les crimes dans le pays en général; nous devons (l’état) commencer à l’éducation de notre jeunesse durant les vingt cinq ans à venir; quand je dis  » éducation » je veux dire inculquer de bons principes éducatifs en eux à l’école, faire des émissions de radio et des émissions télévisées pour eux quotidiennement, parce que nous sommes à un carrefour où si nous ne faisons pas quelque chose dans l’immédiat pour le pays ; nous disparaitrons tous et toutes parceque la barbarie règne dans le pays.

Aux policiers et policières qui sont encore vivants! Faites votre travail de policier sans faire de l’injustice et sans vous intégrer dans le crime quel que soit les difficultés rencontrées parce que vous avez la capacité de travailler impeccablement pour le pays. Courage! Il y a des gens dans le pays qui croient profondément en vous.

Écrit par: Romane Désir

email:romanedesir119@gmail.com

Tous droits réservés, 21 Janvier 2020.

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30 Déc
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Le PARASOL déclare la guerre aux prédateurs des droits humains dont la République Dominicaine et du droit international de l’environnement

En compagnie de plusieurs autres organisations, le Parti Patriyot Rasanble pou Sove Lakay (PARASOL) a déposé une plainte à l’Office de Protection du Citoyen (OPC), le mardi 10 décembre 2019 contre X et la république Dominicaine pour violation systématique des droits de l’homme. Le président du parti, Yvon Bonhomme, envisage aussi saisir les instances internationales à cet effet.

Le parti PARASOL ne se contente pas seulement de faire le plaidoyer des « madan Sara » et des personnes à mobilité réduite. Cette semaine, il va plus loin portant plainte par devant l’Office de Protection du Citoyen (OPC) contre toutes personnes ou institutions qui ne cessent de violer les droits de ces gens longtemps marginalisés dans le pays.Dans sa plainte, il a attiré l’attention des responsables de l’OPC sur d’autres catégories en train de subir les mêmes sorts, en l’ occurrence: les enfants, les paysans, les policiers, les professeurs, les femmes ,entre autres. À l’occasion de ce dépôt, le politique avait insisté sur la paralysie du système scolaire durant les évènements de pays lock qu’il considère comme un affront aux droits des enfants.

Cet événement de pays lock dont il a fait mention a tout révélé sur la dimension de violation des droits humains en Haïti. Confinée chez elle, la population n’avait pas même droit à la libre circulation. Les « madan Sara » ont payé de leur économie et de leur corps par la méchanceté des extrémistes politiques, martèle le numéro deux du Ministère des Haïtiens Vivant à l’Etranger (MHAVE). Les handicapés quant à eux, n’ont pas connu un traitement plus favorable que la catégorie précitée, fait-il savoir. D’après le président du PARASOL, sa plainte vise à attirer les feux des projecteurs sur ce qu’il appelle: les prédateurs des droits humains.

Laissant le pays en quête de cieux plus cléments, les immigrants haïtiens font face eux aussi à leur lot de problème. Et bien conscient de la situation, il a aussi porté plainte contre la République Dominicaine qui n’a pas ménagé ses efforts à fouler au pied les droits d’une multitude de gens de souches haïtiennes. Il dénonce ce qu’il appelle la décision de la honte prises par les autorités dominicaines de révoquer la nationalité de beaucoup de gens descendants d’une famille haïtienne. À son avis, c’est une violation grave des droits de la personne qu’il qualifie de discriminatoire.

De l’avis du DG du MHAVE, la république Dominicaine en agissant ainsi, a violé toutes les conventions relatives aux droits humains. C’est en effet un crime contre l’humanité. Et dans cette veine, le PARASOL s’engage, précise M. Bonhomme, à saisir les instances internationales a cet effet y compris le haut commissariat des Nations Unies.

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30 Nov
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Le parti PARASOL attire l’attention des politiques sur le prix de leur larxisme

Après avoir dénoncé, ce qu’il appelle, la culture d’une pensée fixe, le président du parti PARASOL, Yvon Bonhomme, attire l’attention de tous, en particulier les politiques, sur le risque pour qu’Haïti disparaisse à cause du changement climatique non pris en compte dans le pays. L’environnement représente le cadet des soucis des acteurs politiques qui s’obstinent à se quereller pour le pouvoir, condamne le président du PARASOL. A cet effet, il préconise le dialogue afin de rattrapper le train en marche tout en invitant le chef de l’État à continuer d’étendre sa main afin d’aboutir à la mise en oeuvre du gouvernement d’union nationale.

En conférence de presse, le vendredi 15 novembre, le parti PARASOL a fait sept propositions à l’exécutif. Il recommande la poursuite des discussions et la mise en oeuvre d’un gouvernement d’union nationale au plus vite; la nécessité pour le chef de l’État de décréter sur le pays, au lendemain de l’installation du gouvernement en question, l’état d’urgence humanitaire économique et environnemental sur le pays; établir un plan de redressement économique ravagée par cette crise, dit-il, formatée par une opposition obsédée du pouvoir par la force; revenir de façon pratique avec la décision gouvernementale de diminuer le train de vie de l’État. Le PARASOL, propose aussi la participation active des personnes à mobilité réduite dans la recherche de la solution à la crise; l’integration de la catégorie la plus vulnérable ( les paysans, les handicapés, les commerçants de l’informel) dans l’économie nationale. En dernier lieu, le parti reclame de la transparence dans la bataille enclenchée par l’exécutif contre toutes les entreprises commerciales du secteur privé ayant dépouillé l’État à travers des contrats mal executés.

D’un autre coté, le président du PARASOL dit constater avec quel mépris les acteurs politiques traitent le phénomème du changement climatique. En Haïti, malheureusement, regrette-t-il, la bataille insensée pour le pouvoir n’a pas permis aux acteurs de regarder le danger qui plane sur la nation. » Haïti risque de disparaitre si rien n’est fait pour redresser la barre. En ce sens, nous lançons un vibrant appel à tous indistinctement pour comprendre que la question du changement climatique est un impératif. PARASOL le dit à qui veut l’entendre que la question de l’environnement est une nécessité. Il ne peut y avoir de développement économique et sécurité publique sans la prise en compte de ce facteur », informe le DG du MHAVE qui passe en revue les différentes régions déjà victimes de ce fléau.

Par ailleurs, le politique s’en prend aux opposants du pouvoir qui font la corde raide en se focalisant sur la crise politique qu’ils ont, fait-il savoir, engendré sans prendre le temps d’évaluer son impact, regarder le pays en entier, analyser les défis majeurs auxquels fait face le monde et les grandes menaces qui pointent à l’horizon. Yvon Bonhomme plus loin, part en guerre contre cette tendance d’idée figée tout en condamnant la dictature de la minorité par rapport, précise-t-il, à la majorité qui ne cesse de décapitaliser la classe moyenne et le prolétariat. Le dirigeant politique dit, dans la foulée, regretter, de voir que c’est l’assemblée de France, les parlements canadiens et américains qui essaient sans cesse de secouer les dirigeants pour les sensibiliser sur les necessités existentes. Cela prouve, fustige Yvon Bonhomme, que les étrangers sont plus sensibles à nos compatriotes que ceux qui prétendent vouloir nous défendre.

Constatant avec dégout l’indifference des antagonistes, le politique rappelle à l’opposition que le dialogue est incontournable les invitant toute fois, à mettre de coté leur orgeuil. Se solidarisant avec toutes les couches dont cette crise a affecté directement ou indirectement dont la dyaspora, Yvon Bonhomme, demande à la jeunesse de ne pas se laisser manipuler car, les barricades, à la différence de ce que fait croire l’opposition, n’est pas leur avenir. Il l’invite à faire pression à ce que l’école reprenne ses droits afin de pouvoir se préparer un avenir plus rassurant et plus certain.

Le Quotidien News

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30 Nov
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Le message tricéphale du parti PARASOL vers une société humainement plus vivable

Sorti d’un long silence d’observation, le parti Patriyòt Rasanble pou Sove Lakay (PARASOL) axe son discours autour de trois thèmes spécifiques: l’intégration et la valorisation des handicapés et des femmes de l’informel « madan sara » ainsi qu’à la protection de l’environnement. En pleine crise politique, le PARASOL, via son président, Yvon Bonhomme, appelle tous les acteurs politiques et civils à se concentrer sur les dangers imminents qui se profilent à l’horizon, en l’occurence: la dégradation de l’environnement et la décapitalisation des « madan sara » accélérées par la crise.

Le parti Patriyòt Rasanble pou Sove Lakay (PARASOL) ne bronche pas. Il continue son pèlerinage vers la valorisation de la masse silencieuse en appellant à un meilleur traitement en faveur des « madan sara », l’intégration pure et simple des handicapés dans les affaires politiques du pays et surtout à un nouveau regard sur la dégradation spectaculaire de l’environnement sous les yeux complices de tous les acteurs du pays.

Selon le président du parti, Yvon Bonhomme, qui presse le président à agir, la récente crise ayant frappé Haïti de plein fouet affecte, mais de façon considérable, ces femmes qui s’exposent à tous les dangers afin de soutenir à un niveau spécial l’économie nationale. De l’avis du politique, c’est une abération de faire semblant que l’état économique du pays repose essentiellement sur les données macro. Au niveau micro, ces marginalisées tiennent le coup dans les pénombres des dirigeants alliénés qui ne cessent de trahir leurs origines aux fins de nourrir le système de l’exclusion qui continue de traiter ces courageuses en bossales. Plus de deux cents ans d’éclipsage total, le politique dit penser qu’il devient sacerdotal que ces personnalités soient vivantes dans les discours politiques en Haïti et qu’elles aient dorénavant une place d’honneur dans la vie sociopolitique et économique de la nation.

Yvon Bonhomme n’a aucun regret d’avoir soutenu ce discours des années durant. Selon lui, la bataille est périlleuse, mais optimiste, il est convaincu de la victoire finale d’autant plus que d’autres acteurs dont le chef de l’État commence à embrasser la cause. « J’en suis fier et j’enjoins le président de la République à anticiper ses promesses aux fins de mettre à la disponibilités des cultivateurs et des « madan sara » totalement décapitalisés des banques agricoles et un systême de crédit accessible à tous ». Il exige aussi de meilleurs traitements pour ces marchands au court des voyages et au niveau des marchés publics. « Etant le cerveau de l’économie haïtienne, il est inconcevable qu’elles soient traitées en parents pauvres par leurs enfants ravagés d’un complexe d’infériorité qui leur prive de tout, même de l’honneur de leur avoir engendré », condamne-t-il.

Plus loin, l’homme politique dénonce les actes de corruption qui gangrènent l’administration publique. À en croire Yvon Bonhomme, l’avidité des hommes au pouvoir contribue largement à accentuer la misère de ces misérables. Il appelle à cet effet, le chef de l’État à diminuer le train de vie de l’État et à encourager les firmes d’avocats qu’il a engagées à exiger que les fonds débités pour la deuxième résidence des hauts fonctionnaires non dépensés soient restitués au trésor public. Cette somme évaluée à plus de 7 cent millions de gourdes l’an pourrait contribuer à améliorer la condition de vie de ces laissez pour compte. À ce propos, il exige aussi la mise en oeuvre d’une commission d’enquête en vue d’identifier les corrompus de l’État qui ne cessent de voler l’argent du trésor public sous base de privilège sans pour autant l’usager pour la cause qu’elle a été décaissée.

Les handicapés, une autre préoccupation du PARASOL

Se positionnant en défenseur des vulnérables, le parti PARASOL plaide aussi en faveur des personnes à mobilité réduite représentant près de deux millions de la population haïtienne. Tout comme les commercants de l’informel, ils font parti des plus négligés des catégories sociales haïtiennes. En plein 21ème siècle, le PARASOL conclut que cette ère de marginalisation sociale est révolue et que les handicapés doivent être, à l’instar de toutes les catégories privilégiées , prendre part aux décisions concernants l’avenir de la nation. Ainsi, appelle-t-il, le chef de l’État à prendre les mesures qui s’imposent en vue de favoriser les personnes vivant avec un handicap physique à avoir leurs représentants au niveau du parlement haïtien dans la prochaine législature. De l’avis d’Yvon Bonhomme, personne n’est exempt à une paralysie quelconque et, en foi de quoi, chacun indépendemment de la classe sociale à laquelle il appartient est encouragé à mettre les mains dans la patte afin de valoriser ces personnes jusqu’ici exclues des sphères de décision du pays.

L’ environnement, une menace importante négligée

Alors que le changement de système se parle de plus en plus dans le pays, le Parti PARASOL s’indigne de l’indifférence des acteurs politiques vis-à-vis du changement climatique et ses retombées sur le pays dont l’espace physique est très vulnérable. Pour le dirigeant du Ministère des Haïtiens Vivant à l’Etranger (MHAVE), seuls les politiques haïtiens ignorent les effets du climat qui commencent à balayer le monde. Malgré la signature de l’accord de Rio en 1996 et, plus récemment, celui du COP 21 à Paris paraphé par Haïti, les haïtiens en particulier continuent à négliger son espace physique concentrant toutes leurs énergies sur la prise du pouvoir. Outre la crise structurelle qui sévit dans le pays ayant accouché les recents évènements de pays lock, la non prise en compte de l’espace physique haïtien impacte gros sur le pourrissement de la situation économique du pays. Cette vulnérabilité contribue à corser la pénible situation des « madan sara » décapitalisées de plus en plus mais aussi, malheureusement, risque de contribuer à la disparition imminente de ce territoire.

Le Quotidien News

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